JUAN ATKINS
HEPTATONIA : 22H00
DUO MARIMBAS : 22H45
CABARET CONTEMPORAIN : 23H30
HEPTATONIA : 00H30
JUAN ATKINS (METROPLEX) : 01H50
Cette soirée s’inscrit dans le cadre du festival MARATHON !
EN PARTENARIAT AVEC KONTAKT PROD ET CARTE BLANCHE.
Ce festival a pour ambition de réunir les publics d’univers musicaux très différents, de mélanger musique « savante » et musique « populaire ». Tout en respectant la nature des genres, il s’agit de faire coexister les ambiances et les publics. Au cours d’une soirée MARATHON !, la musique ne s’arrête jamais et habite tous les espaces du lieu dans lequel se déroule l’événement.
Le site du festival : www.marathonfestival.eu
Le festival sur FB : https://www.facebook.com/marathon.festival
Vidéo report de l’édition 2014 à la Gaîté Lyrique
Au programme :
JUAN ATKINS (METROPLEX)
« La naissance de la techno et de Metroplex est une histoire qui date de 35 ans. Juan Atkins, Derrick May et Kevin Sauderson (les Belleville Three) écoutent l’émission radio d’un certain Electrifying Mojo, qui passe du Kraftwerk, du Funkadelic, du B-52’s, etc. Et puis le déclic, Juan synthétise toutes ses influences et forme Cybotron et son label Metroplex. Il enregistre ses premiers morceaux sur cassette avec l’orgue Hammond B3 de sa grand-mère puis avec son Korg MS10. Tout a vraiment commencé à une fraternity party, quand les platines coupent en plein battle et que Juan se lance dans un solo improvisé sur sa TR-808, pendant plus de quinze minutes, les gens sont devenus fous. »
CABARET CONTEMPORAIN plays KRAFTWERK
« Comment parler de ce collectif qui s’attaque, en live et en acoustique, sans synthé ni boite à rythme, au son machinique, machiavélique, de Kraftwerk ? Et tenter d’en réinventer la modernité, voire l’intemporalité ?
Ce que propose Cabaret Contemporain est mieux qu’un contrepied, un contretemps : c’est un passeport, troublant, pour une techno organique, un voyage pour des rêves soniques. » Libération
DUO MARIMBAS
Un duo de marimbas nous propose une perte des repères en interprétant « Marimba Phase » (1967) et « Nagoya Marimbas » (1994) de Steve Reich, deux pièces hypnotiques qui font perdre la notion du temps. Et puis vient l’illusion d’un son continu, c’est le « Continuum » (1968) de Ligeti. Interprétations de Vincent Martin et Stanislas Delannoy.
Avant tout passionné par la musique du Répertoire, HeptaTonia a l’ambition de mixer des raretés allant de l’Ars Nova à la musique contemporaine, acoustique ou électronique, sans oublier les musiques traditionnelles et populaires. C’est une transgression des genres autorisée par une culture éclectique et exigeante.
